SEGA DREAMCAST iNFO Préservation games

Nous oublions bien souvent que les journalistes - à qui nous devons tant - joué un rôle important dans notre passion commune.

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Ils nous transmettaient  leurs émotions, leurs ressentis sur les jeux testés.

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De par leurs articles,  ils nous faisaient rêver . Ils nous donnaient l'envie, où non, de nous essayer à tel ou tel titre.

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Nous attendions chaque mois le nouveau numéro de nos magazines de prédilection afin de nous tenir informé des dernières nouveautés. A cette époque, c'était le seul moyen de suivre l'actualité du jeux vidéo, une époque révolue : l'âge d'or du jeux vidéo.

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Avec la démocratisation d'Internet dans les années 2000 , le charme de la presse écrite se perd.

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Certains événnements organisé par des magazines, comme les 4 d'Or de Gen 4,  récompensaient par catégorie les meilleurs jeux de l'année. Le gratin de l'industrie (2000 invités) était présent. Les 4 d'Or  reprenaient la relève des Tilt d'Or .

 

"Les 4 d'Or sont nés en 1990 de l'envie de faire une remise de prix annuelle des meilleurs jeux vidéo. Tilt à l'époque faisait les Tilt d'Or, en parodiant les 7 d'Or de Tele 7 Jours, nous avons donc lancé les 4 d'Or.

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Après une première remise de prix en 1990 à la Locomotive, la Fnac se joint à nous comme sponsor les années suivantes, avec des soirées au Grand Rex en 1991, au Théâtre de l’Empire en 1992 puis à Disneyland Paris en 1993. La soirée devient une référence de milieu, les stars anglaises et américaines faisant le déplacement systématiquement.

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Après le retrait de la Fnac en 1994, les prix sont décernés dans le magazine sans donner lieu à une soirée. En 1999, les soirées marquent leur retour avec une remise de prix à l’Institut du Monde Arabe, puis en 2000 avec 13e Rue comme sponsor (qui diffuse aussi la soirée) dans les studios de la Plaine St-Denis. À chaque fois, les trophées étaient conçus par un artiste différent.

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Les japonais ne se déplaçant pas, les prix étaient remis au constructeur. "

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D'autres magazines comme Joypad et Joystick remettaient des trophées sans procéder à des cérémonies .

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Joypad récompensait les éditeurs avec un cadre unique lorsque le jeux avait une bonne note + sélection .

 

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